La dysgraphie n’est qu’un symptôme, toujours en lien avec d’autres causes :
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une mauvaise posture et/ou une tenue de l’instrument déficiente,
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une mauvaise intégration des pré-requis en primaire (schéma corporel, orientation spatiale…)
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un saut de classe,
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des troubles des apprentissages (dyslexie, dyspraxie, dysorthographie…)
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le Haut Potentiel, la précocité intellectuelle (EIP / Enfant Intellectuellement Précoce) : lorsque la tête fonctionne trop vite, la main ne peut plus suivre,
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TDA/H,
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l’angoisse, le stress,
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des problèmes d’ordre psychologiques (compensation, refus de communication…),
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des séquelles d’un accident ou d’un traumatisme,
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des pathologies (Parkinson…)…
Chez l’enfant et l’adolescent, elle est le reflet d’une souffrance qui peut l’entraîner vers l’échec scolaire.
